Une approche de tournage libre pour All We Imagine as Light
Payal Kapadia a exprimé sa préférence pour une méthode de réalisation plus libre et spontanée. Malgré les limitations budgétaires et un calendrier strict, elle et son équipe ont réussi à capturer des éléments de nonfiction avec une caméra compacte, errant pour filmer des scènes supplémentaires. Cette méthode n'a pas seulement été plus agréable pour elle, mais a également apporté une dimension d'authenticité au film. (Source : En attendant Nadeau)
Une pré-production minutieuse
Kapadia est une personne orientée vers les processus, s'investissant profondément dans la phase de pré-production. Elle rédige chaque scène de plusieurs manières, parfois jusqu'à 20 brouillons, et s'attache même à écrire des histoires de fond et des lettres entre personnages. Cette approche méticuleuse lui a permis de développer une compréhension approfondie des personnages et de la narration dans All We Imagine as Light. (Source : En attendant Nadeau)
Collaboration et liberté créative
La production du film a été caractérisée par un niveau élevé de collaboration et de liberté créative. Kapadia a travaillé en étroite collaboration avec son producteur, Thomas Hakim, ainsi qu'avec d'autres membres de l'équipe, qui étaient réceptifs à son approche orientée processus. Par exemple, le musicien Topshe était prêt à composer de la musique en fonction du script et a fait preuve de générosité dans ses contributions, même lorsqu'il a fallu plusieurs essais. (Source : En attendant Nadeau)
Défis logistiques sur le tournage
Bien que All We Imagine as Light ne soit pas spécifiquement mentionné dans ce contexte, les difficultés rencontrées par un autre film indien, Santosh, réalisé par Sandhya Suri, fournissent des aperçus sur les obstacles logistiques possibles. Le tournage dans le nord rural de l'Inde a nécessité de gérer des spectateurs curieux, d'installer des scènes rapidement et de se déplacer entre les lieux pour éviter la foule, permettant seulement environ 15 minutes de tournage ininterrompu à la fois. (Source : En attendant Nadeau)
Un titre inspiré par l'art
Le titre All We Imagine as Light a été emprunté et révisé à partir d'une peinture de 2016 de Nalini Malani, l'une des plus grandes artistes vidéo d'Inde et la mère de Payal Kapadia. Cette œuvre, intitulée All we Imagine of Light, a inspiré Kapadia à créer un film qui a finalement remporté le Grand Prix au Festival de Cannes 2024. (Source : En attendant Nadeau)
